Mais il fut quand même question de littérature je vous rassure,
Les choix d'Evelyne :
Piano de cuisson, accords, harmonies, tonalités : Charles-Henri cuisine comme on compose. Mais d’où vient cet étrange rapport à la beauté qui le contraint à dépasser ses propres exigences ?
Ensorcelée par cet homme, Pearl ne répond pas aux télégrammes de son père qui la pressent de rentrer aux Etats-Unis. C’est la fin de l’été 1929.
La lourde calèche peine sur les chemins défoncés, sous la pluie et les orages de ce début d'automne 1814. Il faut rentrer au plus vite. Trouver de l'argent, une habitation, avant de repartir. Non pour visiter d'autres pays, comme c'est à la mode dans l'aristocratie anglaise mais pour quitter un monde qu'ils n'aiment pas. Retrouver une errance qui est leur vérité. Ils ne seront jamais des promeneurs, mais des fugitifs. En traversant les terres des Frankenstein et leur malédiction, penchés sur leurs cahiers, Mary et Shelley commencent d'élaborer leur histoire. Sans relâche désormais, ils vont écrire, traquer leur destin.
Quoi de commun entre la petite Maria, qui vit dans un village reculé de Bourgogne, et une autre fillette, Clara qui, à la même époque, après avoir grandi dans les Abruzzes, est envoyée à Rome afin d'y développer un don prodigieux pour la musique ? Peu de choses, apparemment. Pourtant, il existe entre elles un lien secret : chacune, par des biais différents, est en contact avec le monde des elfes, monde de l'art, de l'invention, du mystère, mais aussi de l'osmose avec la nature, qui procure à la vie des hommes sa profondeur et sa beauté. Or une grave menace, venue d'un elfe dévoyé, pèse sur l'espèce humaine, et seules Maria et Clara sont en mesure, par leurs dons conjugués, de déjouer ses plans. Les deux fillettes, une fois réunies, auront à mener un long combat.
***
Sylvie a lu :«J'éprouvais cependant une angoisse et une grande crainte en me demandant comment avec des pattes si énormes et si longues, je pourrais monter une faible dame, comment ce corps si clair, si tendre, tout pétri de lait et de miel, je pourrais l'enserrer entre mes rudes sabots, ces lèvres mignonnes, tout empourprées d'une rosée céleste, en approcher ma large et hideuse bouche, avec ses dents laides et dures comme pierre, et leur donner des baisers, enfin, comment une femme, bien qu'elle ne fût que désir, jusqu'au bout de ses jolis ongles, pourrait recevoir en elle un membre aussi formidable !»
L'arrivée de Mrs Helen Graham, la nouvelle locataire du manoir de Wildfell, bouleverse la vie de Gilbert Markham, jeune cultivateur.
Qui est cette mystérieuse artiste, qui se dit veuve et vit seule avec son jeune fils ? Quel lourd secret cache-t-elle ? Sa venue alimente les rumeurs des villageois et ne laisse pas Gilbert insensible. Cependant, la famille de ce dernier désapprouve leur union et lui-même commence à douter de Mrs Graham... Quel drame s'obstine-t-elle à lui cacher ? Et pourquoi son voisin, Frederick Lawrence, veille-t-il si jalousement sur elle ?
Karen Blixen, roman. La baronne a eu en effet la vie la plus romanesque qui puisse être. On serait tenté de dire : les vies. Chasseresse africaine au Kenya, hôtesse mondaine dans sa demeure maritime de Rungstedlund au Danemark, conteuse au profil acéré d’oiseau de proie, amoureuse et amante, de Denys Finch Hatton à sa dernière passion nordique, Thorkild BjØrnvig, un poète de trente ans son cadet ! Écrivain et démiurge, mondialement célébrée et lue.
Comment chanter sa singularité, sa liberté, son souverain mépris des codes et des convenances ? Dans ce roman vrai, de l’Afrique au Danemark, de New York à Londres, c’est toute une folle époque qui revit ici en couleurs et en cinémascope : Dominique de Saint Pern ressuscite la femme courageuse et la diablesse, mais aussi l’âme de cet âge d’or où l’on savait aimer, écrire et mourir en beauté.
***
Et nous conseille ces 3 films :
***
et
Face à la souffrance qui accompagne tant d'événements de l'existence, c'est le goût de vivre qui nous permet d'aimer, d'aider, de soulager. C'est l'échange de paroles qui fait de nous des humains et qui façonne nos mondes intérieurs. C'est la parole, source de nos bonheurs comme de nos peines, qui nous fait vivre dans un mélange subtil de réel, d'imaginaire et de symbolique.
Pour savourer le goût de vivre, sachons ensemble retrouver la parole perdue, car nous avons encore tant de choses à nous dire...
***
Quant à moi j'ai lu et pas aimé du tout "Rudik, l'autre Noureev" de Philippe Grimbert,moi qui lit si peu depuis un an et des brouettes ce n'est pas de chance, bref....
Prochaine réunion du club le 12 juin et pique nique le 28 juin à 17h00
Et le 6 juin 14h00 n'oubliez pas vos crochets pour le premier atelier "Créons à loisirs !"
Biz
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de laisser un mot, même tout petit...